QUI SUIS-JE ?

Le choix de mon métier s’est pour ainsi dire imposé à moi très tôt, c’est un domaine qui m’a toujours passionnée et je m’estime très chanceuse d’avoir pu faire le parcours que j’ai eu.

J’ai effectué mes études entre Genève et Lausanne, et j’ai obtenu mon master en psychologie en 2009 que j’ai complété par un CAS en systémique. J’ai obtenu mon titre de psychothérapeute en 2017.

Mon parcours professionnel s’est d’abord déroulé en institution, j’ai notamment travaillé au CHUV en service hospitalier et aux urgences psychiatriques durant 6 ans. J’ai poursuivi mon chemin à l’association Appartenances, en parallèle de l’ouverture de mon cabinet, et ce durant 3 ans. Depuis le début de l'année 2021, je me consacre entièrement à mon activité indépendante.

Portrait Naomi Nilsson

DÉROULÉ

Ce qui compte avant tout pour moi est d’arriver à établir, avec la personne qui se présente, un cadre de sécurité. Par conséquent, ce n’est pas moi qui vais dicter ce que l’on y fait, mais la personne qui sera libre de dire ce dont elle a envie ou pas.

Dans la même optique, je propose, en général, un bilan à la quatrième séance afin que la personne puisse décider en connaissance de cause si je suis la bonne thérapeute pour son suivi. Il y a bien sûr certaines situations dont je ne pourrai pas m’occuper, comme celles nécessitant d’emblée un traitement d’ordre plutôt psychiatrique ou institutionnel.

Les séances durent d’ordinaire 60 minutes (90 pour les suivis de couple).

Photo bord de lac

J’ai envie d’ajouter ici que je n’ai pas de spécialité en ce qui concerne les pathologies prises en charge, pour moi, chaque suivi est une rencontre et personne n’est défini par ses symptômes.

Je reçois des situations individuelles, mais aussi des couples idéalement en co-thérapie, c’est-à-dire que nous sommes deux thérapeutes, afin de garantir une écoute neutre à chacun des partenaires et d’être plus efficace. Toutefois ce setting ajoute des contraintes d’agenda, c’est pourquoi il ne m’est pas toujours possible de le proposer. Pour ce qui est des familles, la co-thérapie est dans ce cas pour moi indispensable.